Pensées. [Libre]

Ces temps, ces temps-là... Pourquoi reviennent-ils toujours me hanter?

L'académie du monde, environ 16 heures 30. Les élèves avaient finis leurs cours et rangeaient leurs affaires. Durant toute la journée, Italy a pensé à une seule chose. Il pensait à cet enfant, cet enfant qui n'est jamais revenu. Cet enfant qui s'est sacrifié en faisant la guerre. Il pensait au merveilleux moments passés dans sa jeunesse avec cet enfant en se disant que cela n'arriverait plus jamais. Hungary a vu qu'il ne se sentait pas très bien et se dirigea vers lui.

-Tout va bien Ita-chan?

-Ohh Hungary... Oui, tout va bien ne t'inquiète pas pour moi. vee~

Il esquissa un sourire et s'en allait pour partir quand Hungary lui dit:

-Si tu as un problème, dis le-moi, hein?

-Merci, tu es très gentille mais il faut que je passe cette épreuve tout seul...

Il partit en direction de chez lui en essayant de chasser les mauvaises pensées de sa tête. Il ne faut pas que je ne pense à ça! De toute façon j'ai de merveilleux amis qui tiennent à moi comme Hungary ou Germany... En parlant de Germany, il n'était pas à l'école aujourd'hui... Je vais aller voir si tout va bien. Changement de cap~! Et à la place d'aller chez lui, il alla en direction de chez Germany. Il savait que Romano allait le sermonner quand il allait rentrer et recevoir des ''Mais où étais-tu passé!!'' , ''Tu as vu l'heure!!'' , ''Tu étais encore chez ce potato bastard?!'' ou encore ''Pourquoi tu n'est pas rentré à la maison cette nuit?!'' (Parce que 75% du temps, Italy dormait chez Germany) mais il s'en contrefichait totallement. L'important pour lui en ce moment était de se rendre chez son ami et voir si il allait bien. Après 5 minutes de marche, Italy croisa Prussia sur le chemin.

Les cours terminés, les élèves se dirigeairent tous vers les couloirs pour ranger leurs livres et partir au plus vite de cette école pour profiter de leur soirée. Prussia alla rejoindre France qui discutait avec England. Apparamment... ils avaient l'air plutot occupés. Il préféra ne pas les dérenger dans leurs "chicanes congugales" et coura vers spain qui samblait déjà partir.

-Spaaaiiiinnn !! Voyon, tu t'enfuis de mon awesomness ou quoi ? On rentre pas ensamble ?

-Désolé Gil', Romano m'a demander de le rejoindre. Je te text plus tard *cours* A PLUUUS !

-(Voyon ils sont tous marié ou quoi ?)

Prussia se résigna à rentrer chez lui seul. Seul avec son fidèle Gilbird qui lui ne le quittait pas pour d'autre moineaux au moins... Quelques instant plus tars, il apperçu Italy qui marchait dans la même direction que lui. Peut-être qu'il allait chez lui (alias chez Germany) aussi ? Donc, il pourait bien faire le reste du trajet ensamble ; Prussia detestait la solitude. Il se doit de partager au monde entier l'awesome personne qu'il est, quand même !

-Itaaalyy !! Haayarr ! Heu.. ça va ?

-Itaaalyy !! Haayarr ! Heu.. ça va ?

Italy entendit la voix perçante de l'albinos qui l'appelait.

-Pr...Prussia~ Bonjour! C-Comment vas-tu?

Italy se sentait un peu mal à l'aise parce que il voulait passer ce moment un peu seul juste pour penser un peu mais il ne voulait pas renvoyer Prussia comme ça, surtout que ils s'en allaient dans la même direction. Donc il décida de rester avec lui et que ça lui changerait les idées vu que Prussia-Chan est ''très dynamique''. Peut-être qu'il réussirait à le faire sourire avec ses paroles et ses gestes? De toute façon il devait, parce que il s'avait promis d'avoir l'air joyeux devant Germany pour ne pas l'inquiéter. Tout d'un coup, Italy se rappela qu'il avait ce CD que l'albinos lui avait prêté. Il le sortit de son sac et le donna à son ami.

-Tiens, je viens de me rappeler, désolé de ne pas te l'avoir donné avant, mais j'oublie souvent... vee~ J'ai bien aimé la musique qu'il y avait dessus~

-Pr...Prussia~ Bonjour! C-Comment vas-tu?

Prussia allais répondre à Italy qu'il se sentait vraiment seul avec ses meilleurs amis qui devenenaient de moins en moins présant à cause de leurs "amours". Il était quasiment le seul qui n'avait vraiment trouver quelqu'un qui ressentait des sentiments pour lui... ou plutot, qui osait lui dire. Le Canadien dans son cours de math lui plaisait, et il fesait presque tout pour faire équipe avec lui quand il en avait l'occasion. Mais il était tellement timide qu'il était presque impossible de savoir quelque trucs sur lui... Italy rompa le silence.

-Tiens, je viens de me rappeler, désolé de ne pas te l'avoir donné avant, mais j'oublie souvent... vee~ J'ai bien aimé la musique qu'il y avait dessus~

-Ah, merci Italy... C'est normal que tu aime, c'est Allemand !! Trop awesome kesesese... Oh, et, au fait... tu vas chez moi et Germany, hein ? Comment.. comment ça va avec lui ?

-Ah, merci Italy... C'est normal que tu aime, c'est Allemand !! Trop awesome kesesese... Oh, et, au fait... tu vas chez moi et Germany, hein ? Comment.. comment ça va avec lui ?


Italy se mit à rire.

-Hahaha, surement~ Comment ça va... Il... s'occupe bien de moi... Ces temps-ci, il est plutôt calme aussi je dirais... Hihihihi~ Mais promet-moi que tu ne lui diras pas que je suis amoureux de lui s'il-te plait! Tu es la seule personne qui le sait et... et... et... et...

Quand Italy parle de ce sujet, il bloque. Surement à cause de la pression... Mais dans un sens,l'allemend lui rappelle énormément cet enfant.Les mêmes yeux bleux, les mêmes cheveux, la même attitude, la même tout... Il retomba dans ses pensées noires etson sourire disparu de son visage. Peut-être qu'il n'était pas amoureux de Germany,mais de cet enfant qui semblait être en lui... Non! Il ne faut pas penser ça! Ce n'étatitque du passé et maitenant il aimeGermany plus que tout. Mais ses pensées le rendait un peu confus.

- Mais bon... arrêtons de parler de ça... Pourquoi Germany n'est pas allé en cours aujourd'hui?

-Hahaha, surement~ Comment ça va... Il... s'occupe bien de moi... Ces temps-ci, il est plutôt calme aussi je dirais... Hihihihi~ Mais promet-moi que tu ne lui diras pas que je suis amoureux de lui s'il-te plait! Tu es la seule personne qui le sait et... et... et... et...

Prussia ne fit que hocher la tête à cette affirmation. De toute façon, il n'allait surement pas le dire à qui que ce soit... si Germany l'apprenait et qu'il avourait avoir les même sentiments ? Il perderait certainement son Italy et son bruder. Il serait donc encore seul, comme d'habtitude... Prussia n'était pas dupe, il se rendait compte à quel point la formation de couple (parfois même entre ses propres amis) était source de conflit.

- Mais bon... arrêtons de parler de ça... Pourquoi Germany n'est pas allé en cours aujourd'hui?

La voix de l'Italien le sorta de ses pensées. Ses grands yeux de gamin et son sourire paisible le rendait heureux.

-...Ah, ça. Bah je le sais pas... je ne l'es pas vue quand je me suis reveiller pour aller à l'école ; Je le croyais déjà partit. J'ai essayer de le rejoindre sur son cellulaire mais je crois qu'il l'a fermer. Peut-être qu'il... était malade. Raah ! Mais ont va l'apprendre bientot de toute façon, on est presque arrivé.

-...Ah, ça. Bah je le sais pas... je ne l'es pas vue quand je me suis reveiller pour aller à l'école ; Je le croyais déjà partit. J'ai essayer de le rejoindre sur son cellulaire mais je crois qu'il l'a fermer. Peut-être qu'il... était malade. Raah ! Mais ont va l'apprendre bientot de toute façon, on est presque arrivé.

-Huh? Ah oui c'est vrai on voit la maison~

Ils leur restaient à peine 1 kilomètre avant d'arriver enfin à la petite maison où Germany et Prussia avaient domicile.

-On peut aller plus vite s'il te plait? Je m'inquiète un peu...

Prussia devait surement se demander pourquoi l'italien était prêssé comme ça mais Italy s'en fichait. L'important pour lui, c'était de voir si son ami allait bien et l'aider si il y a quelque chose.

En 2 minutes, ils étaient à la maison....

-On peut aller plus vite s'il te plait? Je m'inquiète un peu...

Prussia avait l'impression qu'Italy n'était pas au top de ça joie de vivre habituelle. Il avait plutot l'air songeur, limite malheureux. C'était surement à cause de l'absence de son meilleur ami pendant la journée...il était visiblement très inquet. Enfin, plus vite qu'ils arriveraient, plus vite il pourrait certainement retrouver le sourire bienveillant de son ami.

Ils marcha plus vite et se rendis sur le seuil de la porte en deux minute. Prussia ouvra la porte après l'avoir débarrée, fit entrer Italy et se rendis instinctivement vers la cuisine pour prendre une bierre dans le réfrégérateur.

-Germany est certainement dans ça chambre... ou dans le bureau. Tu peux toujours vérifer... oh, et fait comme chez toi, hein ! Tu veux quelque chose à boire peut-être ? Kesesese~

Italy alla parler, mais il n'eu pas vraiment le temps. Germany apparu dans la piece...

L'allemand avait pris sa journée de cour à cause d'une simple maladie, mais assez forte pour faire rester Ludwig dans son lit presque toute la journée. Il en faut beaucoup pour qu'un allemand de cette carrure se fasse terrasser par un virus. En plus de cela, il avait encore beaucoup de travail à faire et en profita donc pour le faire malgré son état. Vers la fin de l'après midi, il entendit son frère rentrait, apparemment accompagné, et n'étant pas très loin, alla le saluer comme se dois un frère. Même s'il n'avait pas vraiment envie de se montrer.

Il se dirigea dans la salle de la cuisine, le teint beaucoup plus pâle que d'habitude et s'adossant un peu d'une main sur le mur le plus proche. De l'autre main il fit un geste à ces invités, ici Gilbert et Feliciano. Ne pouvant pas vraiment parler, il s'avança vers l'italien, qui n'avait pas l'air en forme et lui lance un léger sourire.

Italy alla répondre à Prussia, mais juste à ce moment, il entendit quelqu'un arriver dans la salle. Il se tourna et Germany apparut dans son champ de vision. L'allemand ne dit rien, se contenta juste de sourire et s'avança vers le jeune italien qui se demanda ce que son ami avait.

-Ger... Germany... Tu es tout blême... Qu'est ce qui t'arrive? Tu es malade?

Italy amena sa main au front de Germany pour voir si tout allait bien et remarqua qu'il était un peu fiévreux.

-Tu... Tu devrais aller te coucher pour reprendre des forces... Moi et Prussia allons préparer le diner ce soir...

Mon cœur bat vite... Il bat si vite... Pendant un instant, il crut qu'il allait faire une crise cardiaque. Il se sentit très mal pendant un moment, mais après quelques secondes, c'est parti. Dans sa tête tout était mélangé, les mémoires de ce garçon, ses sentiments pour Germany, son passé... Il regarda affolé tout autour de lui et se rendit compte qu'il était dans le vrai monde, en sécurité avec ses amis... Pour le moment, l'important, c'est prendre soin de Germany et ne pas penser à des choses négatives... Il faut que je me retrousse les manches! Ce n'était qu'un petit moment de folie... Il demanda à Prussia de sortir le matériel nécessaire pour faire le repas (Des pâtes bien évidemment) et s'approcha de Germany.t

-Mais avant, je veux mon calin~! Vee~

Quand Prussia vit Germany tout pâle et tibutant entrer dans la piece, il se sentit mal. La compation était un sentiment peu connu de l'albinos qui, d'habtude, ne se préoccupe que de son propre bien. Arr c'est pas comme si il allait mourir non plus ! se dit-il, comme pour faire taire cet emotion amer. Il était percuadé que Germany n'était tout simplement pas aller en cours parce que ça ne lui disait pas... si il aurait su, il aurait bien fait quelque chose, non ? Les maladies chez les nations sont différantes de celles des humains. Les causes en sont diverses et difficilements guérrisables, mais tous devaient passer par là.

-[...] Moi et Prussia allons préparer le diner ce soir...

Oui, c'était certainement la moindre des chose de toute façon. Prussia sortit des pâtes et chercha des sauscises. C'était généralement le plat qu'ils cuisinaient lorsqu'Italy était chez eux. Les Allemands combinaient leurs repas favoris avec celui de l'italien, et ça ne dérangeait personne.

...

-Ger... Germany... Tu es tout blême... Qu'est ce qui t'arrive? Tu es malade?

L'allemand pris une légère teinte rose sur ses joues à l'approche de la main de Feliciano. Il ferma les yeux, sans répondre à ça question, ne voulant pas l'inquiéter davantage.

-Tu... Tu devrais aller te coucher pour reprendre des forces... Moi et Prussia allons préparer le diner ce soir...

-Je peut très bien préparer le diné et je me suis assez reposé depuis ce matin.

Il fixa pendant quelques instants l'italien plongé dans ces pensées, qui n'avaient pas l'air très joyeuse. Il tourna ses yeux vers son frère puis revint vers son ami après plusieurs secondes de silence. Feliciano cassa ce blanc.

-Mais avant, je veux mon calin~! Vee~

L'allemand lui répondit en hochant un peu la tête et un léger sourire se dessina sur son visage. Il le prit dans ces bras, tendrement.

À la suite de ces mots, Germany souria un peu et prit dans ces bras Italy. Son mouvement était si tendre et si doux, il oublia toutes ces mauvaises pensées qu'il avait pendant toute la journée. Il se sentit aprécié. Je me sens tellement bien dans ces bras... Je pourrais y rester toute la vie... Mais là, il faut que je prépare le souper avec Prussia.

Quelques instants plus tard, quand l'allemand est sorti de la pièce, Italy et Prussia prèparaient le souper. Italy, qui était très déprimé durant la journée a retrouvé son sourire. Il eu soudainement l'envie de chanter.

-When it stops raining I go see my friend, and pile up memories with ravioli
Since I want to see your smiling face... Come on, let's boil hot water! ♫

-When it stops raining I go see my friend, and pile up memories with ravioli
Since I want to see your smiling face... Come on, let's boil hot water! ♫

Prussia ce surpris à sourire en voyant Italy tout heureux tout à coup. C'est comme si... sa joie de vivre était alimenté aux câlin que lui donnait Germany. Pourquoi pensait-il à des trucs aussi bizzares ?? En tout cas, il s'affaira à ce qui était en train de faire... en regardant l'italien (qui sautillait d'un côter à l'autre comme si on venait de lui annoncer qu'il venait de gagner une rations de pâtes et de pizza gratuite à vie) s'occuper des pâtes. L'albinos ce mit à siffloter l'air de la chanson qu'il connaissait le plus, "Mein gott". Soudain, une question lui effleura l'esprit. Il ne voulait pas casser l'ambiance mais la tentation était trop forte.

-Quand comptes-tu avouer tes sentiments pour Lud' ? Enfin.. je veux dire, pas que je veux que tu le fasse mais.. si tu venais à le faire bah.. j'aimerais le savoir.. hum.

Il ne savait pas trop si il devait regreter ça question ou juste laisser Italy répondre... donc il ne fit que le regarder en rougissant un peu.

-Quand comptes-tu avouer tes sentiments pour Lud' ? Enfin.. je veux dire, pas que je veux que tu le fasse mais.. si tu venais à le faire bah.. j'aimerais le savoir.. hum.

Au son de ses mots, l'italien arrêta de chanter, tout d'un coup. La question que son ami venait juste de lui poser alimentait maintenant toutes ses pensées. Il se dit que, finalement, il ne savait même pas encore comment il allait avouer son amour si fort pour Germany, en sachant qu'il risquerait à coup sûr de se faire rejeter et de briser leur amitié et ça lui faisait extrêmement peur. Il avait peur d'un amour à sens unique. En plus, deux hommes, ça ne pouvait s'aimer. Toute la gamme des émotions lui passèrent par la tête en même temps. Il rougit comme une pivoine se se contenta juste de dire quelques mots pour rassurer Prussia.

-J-Je ne sais pas... De toute façon, ça ne sert à rien de lui dire, je sais qu'il n'a pas les mêmes envers moi...

Il sourit un peu et retourna à son travail et à sa chanson pour ne pas laisser le temps à Prussia de répondre. Quelques temps plus tard, le repas était prêt, des bonnes pâtes avec des saucisses. Il prépara trois assiettes et les mit sur la table et alla voir Germany dans son bureau.

-Le souper est prêt~!

Il se força à faire son plus beau sourire à l'allemand.

Ludwig sorti de la cuisine pour aller travailler ses cours perdus pendant la journée, attendant que ses amis finisse de faire à manger. Après quelques minutes, Feliciano chanta. Une chanson bien distincte qu'il chantonnait souvent, surtout quand il préparait des pâtes. Les paroles qu'il connessait par coeur à force d'entendre le jeune italien les chanter remonter un peu plus Germany, bien heureux qu'il sois en forme et pas trop déprimer à ce qu'il n'ai pas pu venir en cour aujourd'huit.

Mais la musique coupa vite, surement son frère qui avait dû demander ou faire quelques chose de déplacé (encore une fois). Même si il n'entendait strictement rien à ce que disait Prusse et Italy, Ludwig essayait de comprendre ce qu'ils disaient. Un moment de silence s'installa dans la chambre de Ludwig, avant de voir de loin Feliciano monter les marche en sa direction.

-Le souper est prêt~!

Il vint le rejoindre et descendre vers la salle à manger, remerciant les deux d'un geste de la tête, aux passages.